Externalisation de service à Madagascar : Comment repérer le bon collaborateur offshore ?

Par on 2020-05-27

En principe, l’outsourcing consiste à confier à un prestataire offshore la gestion d’une partie ou de l’ensemble des activités d’une entreprise. Lorsque l’on parle d’externalisation, l’on pense de suite à « investir moins pour gagner plus ». C’est effectivement le cas si, et seulement si, la collaboration offshore se déroule en bonne et due forme. Pour ce faire, il est tout simplement question de choisir le bon prestataire offshore. Chez une société de prestation offshore, plusieurs critères sont à prendre en compte avant d’entamer une collaboration offshore.

Les sociétés prestataires inondent le marché offshore : Comment distinguer les vrais des semblants ?

A l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication, à peu près tout se passe sur la toile. Un prestataire offshore, en bon professionnel qu’il est, est constamment présent et perceptible sur le web via un site internet. En effet, le webmarketing constitue aujourd’hui le principal pilier d’une stratégie de communication commerciale. Un site internet digne de ce nom en est un s’il est mis à jour de façon systématique selon l’évolution de l’offre et de la demande sur le marché. Il porte également à l’intérêt de l’internaute cible l’ensemble des activités et des prestations proposées par une société de prestation offshore.

Aussi, la société de prestation offshore idéale est réactive. Via son site internet, elle présente des détails quant à la réalisation d’un projet offshore à qui le souhaite. Le webmarketer met en place l’activation de divers outils pour permettre cette interaction décideur-prestataire.  Il peut s’agir d’un blog ou d’un emailing.

D’ailleurs, toujours dans ce contexte, les entreprises de prestation offshore proposent même un devis accessible et réalisable en ligne, parfois disponible sous 24 heures. L’aspect de l’élaboration de ce devis et le réalisme compte tenu des réalités sur le marché offshore mondial constituent l’une des meilleures façons de définir et de distinguer le professionnalisme. Ils permettent aussi de d’identifier le sérieux d’une entreprise prestataire offshore active dans l’externalisation de service à Madagascar.

Aspects d’une vraie collaboration offshore

En règle générale, un prestataire offshore est vraiment sérieux, professionnel et existe légalement s’il suit respectivement le processus suivant avant que la collaboration offshore ne soit officieusement effective.

  • Le prestataire soumet au décideur un cahier de charges

Il s’agit de définir la nature de la collaboration en gestation. Les détails concernant le service requis par le décideur sont inscrits dans le cahier de charges afin que la société prestataire puisse agir en conséquence.

  • Le contrat est signé entre les deux parties prenantes

Une fois la nature de la collaboration bien définie, un contrat de collaboration offshore est ensuite signé par le prestataire offshore et par le donneur d’ordre. Il s’agit de sceller par écrit et légalement le partenariat entre les deux parties. Les éléments suivants sont impérativement inscrits et définis clairement dans ce contrat :

  • Les informations concernant les deux principaux signataires (prestataire et donneur d’ordre) ;
  • Les mentions détaillées de toutes les prestations effectives durant la collaboration (compte tenu du cahier ds charges). Dans la majorité des cas, une collaboration offshore concerne également un contrat de domiciliation d’entreprise, notamment à Madagascar. Si c’est le cas, le partenariat offshore concerne l’expertise, la location de local, la location d’équipements et l’apport des ressources humaines nécessaires.
  • La durée du contrat et du partenariat (en règle générale, un contrat de collaboration offshore dure au minimum trois mois) ;
  • La nature du contrat (est-il renouvelable ou pas ?)
  • Les mentions obligatoires légales et juridiques locales concernant ce genre d’activité ;
  • La signature des deux principaux signataires intéressés (prestataire et donneur d’ordre).
  • La mention de l’accord des autorités locales compétentes légalisant officieusement la collaboration offshore.